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Perspectives obligataires : les occasions de revenus s’élargissent
Vince Gonzales
Gestionnaire de portefeuille de titres à revenu fixe
David Daigle
Gestionnaire de portefeuille de titres à revenu fixe
Jerry Solomon
Gestionnaire de portefeuille et analyste
PRINCIPAUX POINTS À RETENIR
  • Une économie américaine résiliente soutient le marché obligataire.
  • Envisager de se tourner vers des obligations de qualité supérieure pour aider à compenser les risques liés aux marchés des actions.
  • Les écarts de crédit reflètent une perspective économique favorable, mais la sélection des titres reste cruciale.

L’ère du TINA ou « There Is No Alternative » (il n’y a pas d’alternative) dans le secteur des actions pourrait toucher à sa fin. Le potentiel de revenus des obligations est à son plus haut niveau depuis des décennies, offrant aux investisseurs plus d’options pour diversifier leurs portefeuilles.


« L’économie américaine est solide à l’approche de 2025 », déclare Vince Gonzales, gestionnaire de portefeuille de titres à revenu fixe. « Les consommateurs continuent de dépenser, les fondamentaux des entreprises sont sains et les taux d’intérêt sont en baisse. Cette toile de fond est favorable pour les titres à revenu fixe, d’autant plus que les rendements restent élevés, même dans un contexte de réduction des taux de la part de la Réserve fédérale américaine. »


Les priorités politiques du président élu Donald Trump, à savoir les réductions d’impôts, les tarifs douaniers et la déréglementation, pourraient avoir des répercussions sur la croissance, les attentes en matière d’inflation et les taux d’intérêt. Par exemple, Jared Franz, économiste de Capital Group, note que les politiques de M. Trump pourraient maintenir le PIB américain en 2025 dans une fourchette de 3 % à 3,5 %, tout en faisant grimper l’inflation au-dessus de l’objectif de 2 % de la Fed, à un niveau compris entre 2,5 % et 3 %. Les marchés obligataires pourraient influencer les politiques économiques de M. Trump, étant donné que le bon du Trésor américain à 10 ans détermine les coûts d’emprunt pour les gouvernements et les consommateurs. Les investisseurs ont fait grimper les rendements des bons du Trésor américain vers le milieu de la fourchette de 2024, avec un rendement à 10 ans à 4,18 % au 3 décembre 2024, contre 3,78 % au 30 septembre 2024.


Les investisseurs ne doivent pas perdre le fil. Après des années de retard, le rendement de l’indice Bloomberg U.S. Aggregate Bond a dépassé celui des bénéfices de l’indice S&P 500 au 30 novembre 2024. Les obligations ont retrouvé leur rôle traditionnel de pourvoyeurs de revenus et peuvent également aider à réduire le risque global d’un portefeuille.


Les rendements des obligations ont surpassé le rendement des bénéfices de l’indice S&P 500

Le graphique linéaire présente le rendement des bénéfices de l’indice S&P 500 et le rendement au pire des obligations de l’indice Bloomberg U.S. Aggregate, entre janvier 1996 et novembre 2024. Les rendements des obligations ont surpassé les rendements des bénéfices de l’indice S&P 500 entre novembre 1996 et mai 2002, mais ont généralement été inférieurs aux rendements des actions (mesurés par le rendement des bénéfices du S&P) depuis cette période, jusqu’en février 2024, lorsque les rendements des obligations ont de nouveau commencé à dépasser ceux des actions.

Sources : Bloomberg Index Services Ltd., FactSet, Standard & Poor’s. Au 30 novembre 2024.

La Fed étant en mode réduction, les rendements à court terme devraient diminuer progressivement au cours de l’année prochaine, précise M. Gonzales. Cependant, les pressions inflationnistes potentielles résultant des déficits budgétaires plus élevés et des tarifs douaniers pourraient maintenir les rendements des bons du Trésor américain à 10 et 30 ans à des niveaux élevés.


« Dans l’environnement actuel des taux, les investisseurs peuvent obtenir un niveau de revenu intéressant avec des obligations de qualité supérieure », explique M. Gonzales. De plus, les obligations peuvent à nouveau être considérées comme un ballast lorsque les marchés des actions vacillent, aidant ainsi les investisseurs à gérer la volatilité potentielle.


Les fondamentaux restent solides


La résilience des dépenses de consommation, malgré l’inflation et des taux d’intérêt élevés, a permis de maintenir les bénéfices des entreprises et les fondamentaux du crédit en bonne santé.


Les entreprises ont, dans l'ensemble, enregistré des bénéfices solides et mené leurs activités de manière prudente au cours des dernières années, alors que l'on craignait une récession », explique  David Daigle, gestionnaire de portefeuille de titres à revenu fixe.  « Bien qu’il y ait des points faibles émergents, les baisses de taux de la Fed pourraient contribuer à atténuer le rythme d’un éventuel ralentissement économique. »


Les rendements actuels ont généralement entraîné des résultats attrayants

Le graphique à barres présente les rendements annualisés sur cinq ans aux taux récents pour les secteurs obligataires, notamment les obligations d’entreprises de qualité investissement, les obligations d’entreprises à rendement élevé et la dette des marchés émergents, au 30 novembre 2024. Le rendement au pire initial pour l’indice Bloomberg U.S. Investment Grade Corporate était de 5,05 %, avec un rendement annualisé sur cinq ans de 4,8 %. Le rendement au pire initial pour l’indice Bloomberg U.S. Corporate High Yield 2% Issuer Capped était de 7,14 %, avec un rendement annualisé sur cinq ans de 4,9 %. Le rendement au pire initial pour l’indice mixte composé à 50 % de l’indice J.P. Morgan EMBI Global Diversified et à 50 % de l’indice J.P. Morgan GBI-EM Global Diversified était de 6,96 % pour un rendement annualisé sur cinq ans de 8,6 %.

Sources : Capital Group, Bloomberg, Bloomberg Index Services Ltd., J.P. Morgan, Rimes. Rendements et données mensuelles au 30 novembre 2024, remontant à janvier 2000 pour tous les secteurs, à l'exception de la dette des marchés émergents, qui remonte à janvier 2003, et les obligations municipales à rendement élevé, qui remontent à juin 2003. Selon les rendements mensuels moyens pour chaque secteur se situant dans une fourchette de plus ou moins 0,30 % du rendement au pire présenté. Les rendements sectoriels ci-dessus comprennent l’indice Bloomberg U.S. Investment Grade Corporate, l’indice Bloomberg U.S. Corporate High Yield 2% Issuer Capped, et l’indice mixte composé à 50 % de l’indice J.P. Morgan EMBI Global Diversified et à 50 % de l’indice J.P. Morgan GBI-EM Global Diversified.

Malgré des fondamentaux d’entreprises généralement stables, la sélection des titres reste un facteur clé des rendements. « L’inflation a été difficile pour les consommateurs à faible revenu, ce qui pourrait mettre en difficulté certains détaillants et entreprises de consommation cyclique », ajoute M. Daigle. « Je pense que la croissance économique pourrait ralentir d’ici un an, il est donc important d’identifier quelles entreprises pourraient être les plus touchées. »


Les écarts de crédit reflètent largement une perspective économique favorable, mais les investisseurs peuvent encore profiter de rendements plus élevés offerts par les obligations d’entreprise de qualité investissement et à rendement élevé, en comparaison aux obligations du Trésor américain. La campagne historique de la Réserve fédérale américaine pour lutter contre l’inflation a entraîné une hausse des taux, et par conséquent des rendements dans tous les secteurs obligataires. Cela indique que des revenus élevés pourraient finalement persister après des décennies de taux bas. L’indice Bloomberg U.S. Investment Grade affichait un rendement de 5,05 % au 30 novembre 2024, tandis que l’indice Bloomberg U.S. High Yield Corporate Bond 2% Issuer Capped offrait un rendement de 7,14 %.


Le rendement total d’une obligation comprend les variations de prix et les intérêts versés. La composante d’intérêt plus élevée par rapport à la période suivant la crise financière mondiale signifie qu’il pourrait être plus facile de réaliser un rendement total positif, même en cas de volatilité modérée.


Historiquement, les rendements initiaux se sont toujours révélés de bons indicateurs concernant les prévisions de rendement à long terme. « Le potentiel de revenu reste solide par rapport au passé, et une exposition à ces secteurs devrait être envisagée dans le cadre d’un portefeuille globalement diversifié », déclare M. Daigle.


En résumé, des occasions existent, et elles se trouvent au sein de différents secteurs , y compris au-delà du marché américain. D’autres marchés de titres à revenu fixe, comme la dette des marchés émergents, ont résisté aux taux d’intérêt élevés et sont considérés comme bien préparés pour gérer une éventuelle volatilité, explique Kirstie Spence, gestionnaire de portefeuille pour le Fonds Capital Group revenu multisectorielMC (Canada).


Les obligations devraient offrir un équilibre dans les années à venir


L’économie demeure résiliente, avec une inflation sous-jacente en baisse et des marchés de l’emploi en bonne santé. Cependant, des incertitudes subsistent. « Il existe certains points faibles qui pourraient évoluer, donc l'éventail des résultats possibles est large », explique M. Gonzales. Par exemple, les secteurs de la fabrication et de l’immobilier ont rencontré des difficultés en raison des taux d’intérêt élevés.


De plus, les effets potentiels des priorités politiques de l’administration Trump 2.0 ne se sont pas encore fait sentir. « Compte tenu de l’incertitude, il est important de rester flexible, notamment en investissant dans des obligations pouvant offrir des avantages en matière de diversification si la croissance ralentit et si les marchés des actions déclinent », ajoute M. Gonzales. Cela signifie qu’il faut maintenir une répartition en obligations de base, en privilégiant les obligations de qualité supérieure dans le contexte actuel où les investisseurs ne sont pas suffisamment rémunérés pour prendre des risques supplémentaires.


La diversification par rapport aux actions semble être de retour pour les obligations de qualité supérieure

Un graphique à barres montre les rendements totaux moyens des actions (représentées par l’indice S&P 500) et des obligations (représentées par l’indice Bloomberg U.S. Aggregate) pendant les périodes de volatilité des actions, définies comme une baisse de prix de 10 % ou plus dans l’indice S&P 500 avec une reprise d’au moins 75 %. Sur les sept périodes de volatilité des actions entre 2010 et 2021, le rendement moyen des actions a été de -17,4 %, contre 1,4 % pour les obligations. Au cours des deux périodes de volatilité des actions entre 2022 et 2023, le rendement moyen des actions a été de -17,2 %, tandis que celui des obligations a été de -9,4 %. Sur la seule période de volatilité des actions en 2024 (entre le 15 juillet 2024 et le 4 août 2024), les rendements ont été de -7,9 % et de 2,6 % pour les actions et les obligations, respectivement. Données au 30 novembre 2024.

Sources : Capital Group, Morningstar. Les périodes de volatilité des actions de 2010 à 2023 sont basées sur des baisses de prix de 10 % ou plus (sans réinvestissement des dividendes) dans l’indice S&P 500, avec une reprise d’au moins 75 %. La période de volatilité en 2024 fait référence à la période du 15 juillet 2024 au 4 août 2024. Les rendements sont exprimés en USD.

« La Réserve fédérale américaine se concentre sur le soutien des marchés de l’emploi maintenant que l’inflation est proche de son objectif », déclare Tim Ng, gestionnaire de portefeuille du Fonds Capital Group revenu fixe essentiel plus canadienMC (Canada). « Toutes choses étant égales par ailleurs, des taux directeurs plus bas devraient être favorables aux actifs risqués et à l’économie. »


Néanmoins, les investisseurs apprécieront probablement les obligations avant tout pour la stabilité relative qu’elles peuvent offrir lorsque les actions chutent.


« Les obligations sont à nouveau en mesure d’offrir des avantages en matière de diversification, grâce à des rendements plus élevés et au soutien de la Fed », explique M. Ng. Par exemple, lorsque le S&P 500 a chuté de 7,9 % entre la mi-juillet et le début d’août 2024, l’indice Bloomberg U.S. Aggregate Bond a enregistré un gain de 2,6 %. Bien qu’il n’y ait aucune garantie que cela se reproduise, cette situation nous rappelle l’importance des obligations de qualité supérieure dans un portefeuille diversifié.


La Réserve fédérale dispose d’une marge de manœuvre importante pour réduire les taux de manière agressive (au-delà des attentes actuelles du marché) en cas de choc de croissance ou si le risque de récession augmente. Ces baisses de taux pourraient favoriser l’appréciation des obligations et offrir une diversification par rapport aux marchés des actions. Dans le passé, les périodes de baisse des taux ont conduit à de solides rendements pour les obligations de base de qualité supérieure, puisque les prix des obligations augmentent lorsque les rendements baissent.


« C’est le bon moment pour les investisseurs d’évaluer leurs portefeuilles afin d’identifier les risques involontaires, notamment une exposition excessive aux actions ou à des obligations de qualité inférieure », déclare M. Gonzales. « Les obligations reprennent leur rôle fondamental mais essentiel : offrir des revenus, un potentiel de rendement et une diversification par rapport aux actions si le marché devenait volatil. »



Vincent J. Gonzales est gestionnaire de portefeuille de titres à revenu fixe et possède 17 ans d’expérience dans le secteur (au 31 décembre 2024). Il est titulaire d’une MBA de Harvard et d’un baccalauréat en sciences de gestion et ingénierie de l’Université de Stanford.

David Daigle est gestionnaire de portefeuille de titres à revenu fixe et possède 30 ans d’expérience dans le secteur des placements (au 31 décembre 2024). Il est directeur principal des placements de l’American High-Income Trust®. Il détient une MBA de l’Université de Chicago et un baccalauréat en administration des affaires de l’Université du Vermont.

Jerry Solomon est gestionnaire de portefeuille de titres à revenu fixe et possède 32 ans d’expérience dans le secteur des placements (au 31 décembre 2024). Il est titulaire d’une MBA de l’Université de Virginie et d’un baccalauréat en économie de l’Université Temple. Il détient également le titre d’analyste financier agréé (CFA®).


Le rendement des bénéfices correspond au bénéfice prévisionnel par action divisé par le cours de l’action.

 

Le rendement au pire est le rendement le plus bas qui peut être réalisé soit par un achat ou une vente à l’une des dates d’achat ou de vente disponibles, soit en conservant une obligation jusqu’à son échéance.

 

L’indice S&P 500 est un indice pondéré en fonction de la capitalisation boursière, fondé sur les résultats d’environ 500 actions ordinaires largement répandues.

 

L’indice Bloomberg U.S. Aggregate Bond représente le marché américain des obligations à taux fixe de qualité investissement.

 

L’indice Bloomberg U.S. Corporate High Yield 2% Issuer Capped couvre l’univers de la dette à taux fixe qui n’est pas de qualité investissement. L’indice limite l’exposition maximale d’un émetteur à 2 %.

 

L’indice Bloomberg U.S. Corporate Investment Grade représente l’univers des débentures et des billets garantis de qualité investissement, émis publiquement par des entreprises américaines et certaines entreprises étrangères, qui répondent aux exigences d’échéance, de liquidité et de qualité.

 

L’indice J.P. Morgan Emerging Markets Bond (EMBI) Global Diversified est un indice de référence de la dette des marchés émergents à pondération unique qui suit les rendements totaux des obligations libellées en dollars américains émises par des entités souveraines et quasi souveraines des marchés émergents.

 

L’indice J.P. Morgan Government Bond (GBI) – Emerging Markets Global Diversified couvre l’univers des obligations d’État des marchés émergents à taux fixe, liquides et régulièrement négociées, libellées en monnaie nationale, auxquelles les investisseurs internationaux peuvent s’exposer.

 

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